Dans cette usine, le patron est à l’écoute des travailleurs. Il sait qu’on travaille moins bien le ventre vide. Il a décidé de réagir. Il a organisé la production en fonction des horaires de la journée. En début de matinée et d’après-midi, les produits haut de gamme. Vers onze heures et à la fin de la journée, quand l’appétit gronde, ceux de qualité moyenne. C’est le capitalisme à visage humain. La faim justifie les (...)